Sous le pont
Un poème connu, dans lequel manquent des mots
est distribué
En ¼ d’heure, complétez-le à votre manière
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Sous le pont vieux
Sous le pont
vieux s’abritaient nos amours d’enfant
Et nos
seize ans
Faut-il
qu’elles me reviennent
La joie venait
d’un rien dans nos yeux pétillants
Vienne le temps des
souvenirs
Les jours où brillait
l’avenir
Les mains timides et
confiantes se cherchaient
Tandis que le jour
déclinait
Le pont était
témoin
Des éternels serments
qui tout bas, s’échangeaient
Vienne le temps des
souvenirs
Les jours où brillait
l’avenir
L'amour, tel un feu
crépitant me réchauffait
L'amour, mon être
envahissait
Comme un soleil
d’été
Et comme une étoile
au firmament, scintillait
Vienne le temps des
souvenirs
Les jours où brillait
l’avenir
Passent les heures,
les jours et passent les années
Ni temps ni lieu n’ai
oubliés
Ni les amours vécues
Sous le pont vieux, où
comme un secret sont cachées.
Vienne le temps des
souvenirs
Les jours où brillait
l’avenir
Gill
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Sous le pont, souviens toi de nos toujours si tendres,
Jeunes encore si beaux et nos demains promesses ;
Faut-il que nos oublis nous empêchent d’entendre ?
La joie venait, ne comptait pas le temps qui reste.
Parle-moi encore maintenant , qu’avant ne viennent
L’hiver et la froidure, rétrécissent les jours
Les mains étreintes et les miennes dans les tiennes,
Partons tous deux tandis que s’efface le jour.
Le pont enjambe notre vie à deux sienne,
Des éternels baisers de nos lèvres d’amour,
Que jamais l’aube des au revoir ne vienne.
L amour un à un comptera les jours.
Comme moi, comme toi, désormais la nonchalante,
Et comme cette péniche lentement s’avance ;
Vers le port dernier de nos jours que viennent
Passent les écluses lentement jusqu’à la Seine.
Ni temps ni saisons, à nos mémoires anciennes
Ni les amours ni les peut-être ? ni les toujours,
Sous le pont promesses cadenassées parisiennes
Serments recommencés réinventés chaque jour.
Louis
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Sous le pont des soupirs, où glissent des gondoles
S'égrainent doucement les minutes qui passent
Et nos souvenirs
Faut-il les réveiller? Les laisser en voyage?
La joie venait ici des plaisirs qu'on partage.
Vienne le jour, où, cessant d'être sages
Le jour où de l'amour on sent l'heureux présage, où
Les mains prennent les mains, les bouches les baisers,
Tandis que sous le pont coule l'eau qui frissonne,
Le pont est le témoin des couples qui se donnent
Des éternels serments qui jamais ne s'oublient
Vienne ce soir d'été inondant la lagune
L'amour et le soleil dilués dans la brume.
Passent les jours comme passent les sillons des gondoles.
Ni temps présent ni temps passé
Ni les amours s'envolent
Sous le pont des soupirs
Vienne bientôt le temps des souvenirs.
Jean-Pierre
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Avez-vous deviné de quel poème il s’agit ?
C’est
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Le pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine………………
Guillaume Apollinaire